« La Constitution algérienne garantit la liberté de conscience en Algérie et de tous les algériens au-delà de leurs convictions religieuses. Il faut rappeler que l’Algérie a ratifié le pacte international des droits civils et sans réserve. Alors, les poursuites contre les Ahmadis sont contraires à la Constitution et la législation nationale. Ce type de poursuites donne une mauvaise image de l’Algérie et renseigne sur le respect de ses engagements internationaux. Je dois dire aussi que ces agissements confortent une certaine opinion publique internationale qui présente l’islam comme une religion violente, et enfin cette catégorie ahmadie ne nuit pas à l’ordre public, elle est pacifique, tolérante et rejette la violence sous toutes ses formes.»