Annoncé par les enquêteurs eux-mêmes, ce rapport ne verra jamais le jour. Et pour cause ! L’examen des 41 contrats devait en effet être suivi d’un autre et qui devait être celui de « l’approfondissement» de la mission de contrôle de l’IGF et se propose d’examiner dans une deuxième étape les points en rapport avec les « domiciliations bancaires», « les transferts et paiements à l’étranger» ; « la situation fiscale de B&R-C», à « d’autres contrats de sous-traitance» ; « le coût du personnel étranger et autres». Entre-temps, une épaisse chape de plomb a couvert crimes et scandales. Lire la suite